Mise en place de l’ANI : témoignage de Pierre GUIGARD, directeur d’entreprise
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Dans l’objectif de vous apporter des informations utiles et de qualité, nous avons interrogé plusieurs chefs d’entreprise au sujet de la réforme liée à la complémentaire santé d’entreprise. Nous avons recueilli les impressions, craintes et questions du directeur de l’entreprise File dans ta chambre, Pierre GUIGARD.
Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ?
File dans ta chambre, qui existe depuis 2008, est composée de 11 personnes. C’est un distributeur premium de mobilier pour bambins, enfants et adolescents. D’ailleurs, nous sommes leader sur ce marché au niveau digital.
Connaissez-vous la convention collective à laquelle vous êtes rattaché ? Savez-vous si elle prévoit un régime collectif de santé obligatoire ?
Oui, nous sommes rattachés à la convention collective de l’ameublement. Non non, il n’existe pas d’accord direct au sein de cette convention concernant un régime collectif de santé obligatoire.
Avez-vous mis en place de vous-même une complémentaire santé pour vos salariés ?
Oui ! Depuis le mois de mai 2014, mes salariés bénéficient d’une complémentaire santé d’entreprise. J’ai pris moi-même la décision de la mettre en place en sachant que cela allait devenir obligatoire (c’est ce qu’on appelle une « décision unilatérale de l’employeur », ndlr).
Avez-vous entendu parler de l’ANI du 11 janvier 2013 ? Qu’en avez-vous retenu ?
Oui, j’ai entendu parler de cet accord. Le cabinet de conseil auquel nous sommes rattachés nous à fait parvenir quelques informations à ce sujet.
Quelles sont les difficultés que l’ANI peut entraîner au sein de l’entreprise ?
La mise en place de la complémentaire santé collective n’a pas été simple car c’est une procédure relativement encadrée. J’ai trouvé que les informations claires et concrètes n’étaient pas faciles à obtenir. Il fallait également gérer l’incompréhension des salariés ce qui n’a pas été si simple. Heureusement, le cabinet de conseil a joué un rôle important au niveau social.
En revanche, j’ai pu comparer rapidement les offres de complémentaires santé ce qui m’a permis de choisir celle qui était la plus adaptée à mes salariés.
Connaissez-vous les avantages liés à cette mesure ? Quels seraient les points positifs ?
Si je me souviens bien, la participation est déductible du bénéfice imposable de l’entreprise.
Le fait de proposer cette complémentaire santé au salarié joue un rôle important en cas de recrutement : c’est un moyen de séduction non négligeable. Lors des entretiens de recrutement, le candidat aborde toujours ce sujet désormais.
Et puis File dans ta chambre est une petite entreprise, j’ai donc pu proposer une offre qui répond aux besoins de l’ensemble de mes salariés.
Enfin, la mise en place de cette complémentaire santé obligatoire a-t-elle eu des impacts sur votre entreprise ?
En tant que dirigeant de File dans ta chambre, j’ai eu plus de responsabilités vis-à-vis de mes salariés. J’ai dû mettre en place une communication pour les informer et les rassurer au sujet de cette obligation.
Mise en place de l’ANI : témoignage de Pierre GUIGARD, directeur d’entreprise
Dans l’objectif de vous apporter des informations utiles et de qualité, nous avons interrogé plusieurs chefs d’entreprise au sujet de la réforme liée à la complémentaire santé d’entreprise. Nous avons recueilli les impressions, craintes et questions du directeur de l’entreprise File dans ta chambre, Pierre GUIGARD.
Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ?
File dans ta chambre, qui existe depuis 2008, est composée de 11 personnes. C’est un distributeur premium de mobilier pour bambins, enfants et adolescents. D’ailleurs, nous sommes leader sur ce marché au niveau digital.
Connaissez-vous la convention collective à laquelle vous êtes rattaché ? Savez-vous si elle prévoit un régime collectif de santé obligatoire ?
Oui, nous sommes rattachés à la convention collective de l’ameublement. Non non, il n’existe pas d’accord direct au sein de cette convention concernant un régime collectif de santé obligatoire.
Avez-vous mis en place de vous-même une complémentaire santé pour vos salariés ?
Oui ! Depuis le mois de mai 2014, mes salariés bénéficient d’une complémentaire santé d’entreprise. J’ai pris moi-même la décision de la mettre en place en sachant que cela allait devenir obligatoire (c’est ce qu’on appelle une « décision unilatérale de l’employeur », ndlr).
Avez-vous entendu parler de l’ANI du 11 janvier 2013 ? Qu’en avez-vous retenu ?
Oui, j’ai entendu parler de cet accord. Le cabinet de conseil auquel nous sommes rattachés nous à fait parvenir quelques informations à ce sujet.
Quelles sont les difficultés que l’ANI peut entraîner au sein de l’entreprise ?
La mise en place de la complémentaire santé collective n’a pas été simple car c’est une procédure relativement encadrée. J’ai trouvé que les informations claires et concrètes n’étaient pas faciles à obtenir. Il fallait également gérer l’incompréhension des salariés ce qui n’a pas été si simple. Heureusement, le cabinet de conseil a joué un rôle important au niveau social.
En revanche, j’ai pu comparer rapidement les offres de complémentaires santé ce qui m’a permis de choisir celle qui était la plus adaptée à mes salariés.
Connaissez-vous les avantages liés à cette mesure ? Quels seraient les points positifs ?
Si je me souviens bien, la participation est déductible du bénéfice imposable de l’entreprise.
Le fait de proposer cette complémentaire santé au salarié joue un rôle important en cas de recrutement : c’est un moyen de séduction non négligeable. Lors des entretiens de recrutement, le candidat aborde toujours ce sujet désormais.
Et puis File dans ta chambre est une petite entreprise, j’ai donc pu proposer une offre qui répond aux besoins de l’ensemble de mes salariés.
Enfin, la mise en place de cette complémentaire santé obligatoire a-t-elle eu des impacts sur votre entreprise ?
En tant que dirigeant de File dans ta chambre, j’ai eu plus de responsabilités vis-à-vis de mes salariés. J’ai dû mettre en place une communication pour les informer et les rassurer au sujet de cette obligation.